Natacha PARAGE-JOJON
Hypnothérapie à Cournon-d'Auvergne

 

      Centre d'Entrainement et de Sérénité Cérébrale

Psychothérapie brève à Cournon-d'Auvergne

Pourquoi faire une thérapie brève au CESC ?

L'objectif va être de trouver COMMENT atteindre votre mieux être, après s'être bien sur pencher en détail et en profondeur, sur le POURQUOI vous en être là.

A l'aide des différentes techniques à ma disposition, nous allons déterminer laquelle ou lesquelles seront utilisées. En fonctions de votre avancé, de vos ressentis et de votre retour aux séances suivantes, il est possible de modifier les techniques utilisées pour vous apporter un accompagnement personnalisé.

Le CESC, accompagne toute personne en demande, mais également des personnes ayant un profil atypique dans leur fonctionnement cognitif cérébral.

Mal être

Traumatisme

Fatigue

Cerveau en "ébullition"

Besoin d'écoute

Manque de confiance

Colère

Difficultés à comprendre ou accepter ses particularités ou celles d'un proche

...

Les z'atypiques

LES ZÈBRES

Moins de 3% de la population française et pourtant de nombreux termes sont donnés à ces personnes qui se voient de ce fait "catégorisées". On peut entendre, surdoué, génie, HPI, EIP (pour les enfants), zèbre... Nous garderons au CESC, le surnom de "zèbre", car cet animal représente parfaitement une personne avec un haut potentiel intellectuel, dans sa façon d'être en société. En effet dans un troupeau, qu'est qui ressemble plus à un zèbre qu'un autre zèbre ? Vu ensemble les zèbres sont tous rayés de blanc et de noir !
 

Pourtant en observant de plus prés chaque animal du groupe, les rayures leur donne leur unicité, leur marque d'individu unique à part entière dans ce troupeau. Sorti du troupeau, la robe zébrée se distingue parfaitement des autres robes de ses congénères. Pour arriver à se camouflé chaque zèbre se fond dans le groupe et joue le reflet de lui même (l'inverse de qui il est), pour ne pas sortir du lot et ne pas être vulnérable. Voilà pourquoi le ZÈBRE.

QUI SONT CES ZÈBRES ?

Une personne avec un haut potentiel intellectuel a dans la majorité, heureusement pas en général, des difficultés divers en société. Il faut tout d'abord savoir qu'avoir un HPI, ne VEUT PAS dire être plus intelligent mais AVOIR un FONCTIONNEMENT CÉRÉBRAL DIFFÉRENT. En effet, si on se base sur le chiffre du QI (quotient intellectuel) celui ci doit être plus élevé que la moyenne pour être considéré comme un zèbre. Il fallait bien un moyen de créer cette "catégorie" en la délimitant. Être un zèbre c'est un tout, qui englobe le QI et le fonctionnement. Le cerveau réfléchi autrement, plus rapidement, avec plus de diversité et sans connaitre le mot "stop" (la pensée en arborescence). Les centres d'intérêts ne sont pas les mêmes, qu'une autre personne de la même classe d'âge.

Bien heureusement, tous les zèbres n'ont pas forcement des difficultés en société. Il faut tout de même comprendre qu'avoir un HPI demande une adaptation continuelle, face à d'autres personnes. Cela engendre une dépense énergétique importante. Pour ces raisons il est très souvent vu, que les zèbres se recentre sur eux à des moments pour se ressourcer. Certains parfois refoule leur HPI, tellement bien et depuis si longtemps, qu'ils arrivent à mal se faire voir des autres, qui ne comprennent pas leur différences de comportement, car aucun nom n'est posé sur "cette manière d'être". D'autre font de leur HPI une "identité", pour se préserver des jugements sur eux même...

'La robe ne fait pas le zèbre"

Le CESC, accompagne les personnes porteuses d'autisme avec le neurofeedback dynamique. Nous accompagnons également l'entourage avec nos différentes techniques thérapeutiques (hypnose, neurofeedback dynamique, coaching et/ou psychothérapie brève). En effet l'entourage aussi, a parfois besoins de soutient, d'écoute et de temps de pause.

Cet article parle de l'autisme en général mais il faut garder à l'esprit que ce terme "autisme" est vaste. Nous traiterons par la suite un autisme particulier, appelé auparavant "autisme asperger", associé avec un hpi.

Qu'est ce que l'Autisme ?

Dans un premier temps, qu'est ce que ce n'est pas ! (listes non exhaustives)

L'Autisme n'est pas :

- l'identité d'une personne

- transmissible en côtoyant la personne

- une pathologie forcement visible au premier abord

- un critère de déficience mentale 

-...

Une personne atteinte d'Autisme ne se résume pas :

- à se taper la tête sur les murs

- à passer ses journées à regarder les par la fenêtre

- à aimer les trains

- à ne pas regarder dans les yeux

- à ne pas communiquer

- à crier

-...

Aider le plus grand nombre à comprendre qu'est ce que l'Autisme, aidera à limiter la peur de la différence. Cela fera diminuer les préjuger, soulagera les proches et la personne atteinte.

Du coup c'est quoi l'Autisme ?

C'est un trouble du neurodeveloppement, qui se montre très jeune dans une grande majorité des cas. Ce trouble évolue avec les années. Il faut pourtant retenir que ce trouble peut se montrer très varié dans ses caractéristiques en fonction des personnes. Les degré peuvent différer d'un individu à l'autre. De ce fait, pour "simplifier" le regroupement des "autismes", on parle alors de Trouble du Spectre Autistique (TSA),

Pourtant certaines caractéristiques, ou manifestation que l'on nommera la "dyade autistique", ressortira plus communément chez les personnes atteintes de TSA :

- La personne, a des intérêts restreints. C'est à dire qu'elle ne va porter son attention, souvent obsessionnel sur très peu de choses.

- Certains comportements de cette personne se disent répétitifs, par des mouvements identiques et plus ou moins contrôlé autant dans la fréquence que dans la vitesse.

- Les changements et/ou imprévus sont mal vécu et supporté par ces personnes très réceptives aux modifications de leur environnement. Une personne avec TSA peut avec une "hyper" ou "hypo" réactivité sensorielle.

- La communication verbale ou non-verbale, selon le degré du TSA, est compliqué. Comme les interactions sociale, qui le sont tout autant. En effet, ce que l'on appel les codes sociaux ne sont pas compris et/ou mal interprétés. Le "second degré", n'étant pas ou mal accepté par le cerveau, comme tout "sous entendu". Il est facile d'imaginer (chose qu'une personne TSA aura plus ou moins de mal à faire), que se faire comprendre ou comprendre les autres avec un TSA est très difficile, sachant que beaucoup de notre communication se base sur ces codes, ses sous entendus et ses métaphores...

D'autres troubles ou maladies peuvent accompagner le TSA chez une personne. Ici nous traiterons d'une particularité cognitive qui chamboule les "on dit" sur l'autisme et en particulier celui que l'on appelait "l'autisme de type Asperger" ou celui appelé de "haut niveau". En effet nous allons parler de l'autisme associé à un Haut Potentiel Intellectuel (HPI), qui n'est pas forcement présent dans les deux types d'autisme précédemment, qui dans leur cas lors des tests montrent un QI dans la moyenne mais pas forcement dit supérieur.

Attention, tout l'article ainsi que les descriptions sont bien entendu à adapter selon la personne et son degré de TSA.

Qu'est ce que l'autisme associé à un haut potentiel intellectuel ? (TSA/HPI)

LES ZÉBRES COLORÉS

Est ce forcement un autisme que l'on appelait "type asperger" ou celui dit "de haut niveau" ? Non des recherches plus approfondis ont démontré que c'est deux types d'autismes n'étaient forcement associés à un haut potentiel intellectuel. 

Le TSA/HPI, c'est un personne atteinte de TSA avec un degré propre à chacun, ayant plusieurs caractéristiques s'y rattachant. Mais dans sa manière de fonctionner cognitivement, le HPI vient faire son contre poids dans la balance du fonctionnement cérébral. Parfois cette balance se dérègle, et le TSA ressortira plus fort que le HPI ou l'inverse ou encore les particularités ne se verront pas car la balance sera équilibrée et HPI comme TSA se compenseront.

Il est de ce fait compliqué de détecter un fonctionnement TSA/HPI. Bien souvent cela se fait tardivement et/ou des noms de particularités cognitives supposés sont donnés par méconnaissance de cette double particularité. Bien souvent, les personne TSA/HPI, vivent dans les questionnements du "pourquoi sont elles comme elles sont ? " ou "pourquoi je suis pas comme les autres ? "... Avant de découvrir qui elles sont et d'enfin trouver un soulagement dans cette réponse.

A ce double fonctionnement cognitif peuvent s'ajouter comme pour le TSA ou le HPI seul, des troubles associés (DYS, TDA/H, TOC; TOP, SGT, ....)

Il est d'autant plus complexe pour ces personnes de s'intégrer dans la société car parfois les deux particularités se voit contradictoires comme le fait de vouloir côtoyer les autres et à la fois ne pas y parvenir... L'hyperémotivité et l'hypersensibilité sont alors décuplés chez ces personnes.

LES AUTRES TROUBLES DES FONCTIONS COGNITIVES

Le terme "cognitif" englobe l'ensemble des processus psychiques, c'est à dire un grand nombre de fonctions gérées par le cerveau. On parle des processus comme celui d'acquérir, de traiter, de stocker, d'utiliser des apprentissages ou des connaissances..

Quand on parle alors de troubles cognitif c'est qu'il y a des symptômes montrant du dysfonctionnement des ses processus. Ils sont alors à différents degrés selon chaque individu. Une personne peut avoir plusieurs troubles cognitifs.

exemples d'un petit nombre de troubles cognitifs

TDA/H, est un trouble du déficit attentionnel avec ou sans hyperactivité. On y trouve un fonctionnement très prononcé de l'inattention et la distraction, accompagné ou non une activité physique excessive.

Les Dys, ce sont des troubles de l'apprentissage, aujourd'hui de plus reconnue mais encore mal recensés. Il y aurait entre 5 et 8 % de personne par tranche d'âge en France.

Les difficultés de sommeil, très souvent pris à la légère, pourtant ils entraines de nombreux dysfonctionnement du corps et du cerveau.

Les difficultés de mémoire, qui peuvent avoir différentes origines

Les angoisses et le stress chronique, qui engendre souvent d'autres difficultés

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Le Syndrôme de Gilles de la Tourette (SGT)

Rendu public au XIXe siècle par le neurologue, Georges Gilles de la Tourette. Il décrit alors le SGT comme une maladie neuropsychiatrique ayant une par de génétique. Cette maladie est caractérisée par des tics involontaires, soudains, plus ou moins forts, intermittents, pouvant être moteur avec des gestes des membres ou vocaux avec des mots sortant sans avoir forcement de sens au moment dit.

Ce syndrome se montre dans l'enfance en 6 et 8 ans, il évolue avec l'enfant et diffère dans son intensité en fonction de chacun. L'adolescence est une période où le SGT est plus marqué. Dans la majorité des cas il est associé à d'autres troubles cognitifs.

On parle que pour environ 25% des personnes atteintes, le syndrome se calme à l'age adulte, pour les 75% restant il se stabilise ou s'aggrave.

Ce n'est pas une maladie héréditaire, pourtant les recherches montrent une composante génétique dont les gènes ne sont pas encore vraiment identifiés.

Pour qu'un diagnostic puisse être posé il faut que la personne ait des tics moteur et vocaux depuis au moins un an et que cela soit apparu avant les 18 ans. Dans les tics vocaux  la coprolalie est souvent présente mais il faut voire que la répétition des insultes touche moins se 20% des personnes ayant un SGT.

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